Anne-Cécile Moser
Comédienne, metteure en scène, conceptrice, dramathérapeute
  • Anne-Cécile Moser
  • News
  • Théâtre
    • Comédienne
    • Metteure en scène acmosercie
    • Metteure en scène hors Cie
    • Enseignante et metteure en scène avec et pour des amateurs
  • Dramathérapie
    • En individuel et/ou en groupe
    • En pratique
    • Projets et théâtrothérapie
    • Du théâtre à la dramathérapie
  • Théâtre Playback Nomades
  • 5’600K
  • Être ou ne plus être? Photomaton!
  • Contact & Liens
Songe d’une nuit d’été
Songe d’une nuit d’été
Songe d’une nuit d’été
Songe d’une nuit d’été
Songe d’une nuit d’été
Songe d’une nuit d’été
Songe d’une nuit d’été
Songe d’une nuit d’été
Songe d’une nuit d’été
Songe d’une nuit d’été
Songe d’une nuit d’été
Songe d’une nuit d’été
Songe d’une nuit d’été
Songe d’une nuit d’été
Songe d’une nuit d’été

Songe d’une nuit d’été

Metteure en scène Cie

Description

Songe d’une nuit d’été pour 3 couples pris au piège dans une cour à la Grimm, proche d’un jeu tv, dans une forêt digne de Jung pleine de rêves inassouvis à moins que ce ne soit des cauchemars!
Chacun aveuglé, exorbité dans son besoin d’amour insatiable, immergé dans ses obsessions et ses fantasmes. 3 couples “chutent” dans une boîte qui se nomme “Songe d’une nuit d’été” avec pour langage du Shakespeare!
Deux couples victimes consentantes d’un jeu cruel de mise à nu, mené par 1 autre couple, en panne de désir, Roi et Reine, de pacotille ou issu d’une mythologie enfouie.
Ils seront avec Puck les maîtres de cette plongée abyssale dans ce grand chaos originel…

Monde ludique exultant dans ses aveuglements successifs, monde visité par un professeur se prenant pour Bottom qui, grâce à un ange et démon facétieux deviendra le bouc émissaire idéal, l’âne sacrificiel,

celui qui permettra, dans un retournement tout shakespearien, à chacun, au terme de ce voyage tourmenté, d’être « transfiguré » !

Entre le sanglot et le fou rire… songe ou réalité ?


Coproduction:
l’Octogone-Pully, Espace Nuithonie-Villars-sur-Glâne, l’Oriental-Vevey, Les Halles-Sierre
Avec le soutien lors de la création 2005 de :
Pro Helvetia – La Ville de Lausanne – Migros – la Banque Cantonal Vaudoise – Bobst – Fondation Binding – La Corodis – Loterie Romande – La Cinémathèque Suisse – Librairie La Fontaine – La Suisa
Avec le soutien lors de la tournée 2006 de:
Ville de Lausanne, Pour-cent culturel Migros, Corodis, Pro-Helvetia

L'affiche

ACM_SONGE_A2_06_ok_light

Dates

Création au Théâtre de l’Octogone, Pully
1 au 3 avril 2005
Théâtre de l’Oriental, Vevey
6 au 10 avril 2005
Espace Nuithonie, Villars-sur-Glâne
13 au 14 avril 2005
Théâtre Benno Besson, Yverdon
20 avril 2005
Les Halles de Sierre, Sierre
23 au 24 avril 2005
Théâtre du Passage, Neuchâtel
28 au 29 avril 2005
Maison des Arts, Thonon
10 et 11 octobre 2006
Grange de Dorigny, Lausanne
6 au 12 novembre 2006
Théâtre Palace, Bienne
20 novembre 2006

Distribution

Texte
William Shakespeare
Traduction
Jean-Michel Déprats
Avec
Yvette Théraulaz, Philippe Morand, Madeleine Assas, Yves Adam, Franziska Kahl, Mauro Bellucci, Shin Iglesias, Elidan Arzoni, Michel Grobéty (reprise), Séverine Bujard (reprise)
Conception, mise en scène
Anne-Cécile Moser
Scénographie
Sylvie Kleiber
Musique, espace sonore
André Décosterd, Patricia Bosshard
Costumes
Claude Rueger
Maquillages, perruques
Cécile Kretschmar
Lumière
Lionel Haubois

 

Régie générale
Joseph Frusciante
Vidéo
Nicole Seiler
Danse de salon
Patricia Moreau
Construction métallique
Christion Balet, Pierre Meine
Couture
Marchteld Vis
Maquilleuse
Sabine Kamber
Assistante scénographie
Sonia Frossard
Administration
Raphaël Rivier, Emmanuel Colliard
Graphisme
Amaya Pastore

Presse

  • LE DAUPHINE LIBERE - 13.10.2006

    Salles combles

    Avec « Songe d’une nuit d’été », à la Maison des Arts, les salles étaient combles pour les deux représentations de la pièce à l’espace Maurice Novarina, mardi et mercredi. Tout semble permis, de l’évocation au délire. Anne-Cécile Moser, metteur en scène, ensorcelle et joue de l’infini créatif, enluminé de toutes les techniques à portée de sa main et du jeu (extraordinaire) des acteurs dont l’engagement est total. Aux sources d’un sujet universel, elle opère dans l’extrême avec la poésie et le rire de l’enfance. Elle lui garde son mystère et toutes ses interrogations.

    M.R

  • SWISSINFO -12.04.2005

    Une nuit féerique avec Shakespeare

    Créé à l’Octogone de Pully par la Vaudoise Anne Cécile Moser, «Le Songe d’une nuit d’été» sillonne les villes romandes. Un spectacle dans lequel la metteuse en scène mêle allègrement music-hall, danse, cabaret, cirque et théâtre.
    Féerie, fantasmagorie, hallucinations: trois bonnes clés, dont use (et abuse par moments) Anne Cécile Moser, pour ouvrir les multiples portes du «Songe d’une nuit d’été» imaginé par Shakespeare.
    Multiples, parce que l’auteur accumule les intrigues qui s’emboîtent ici comme des poupées russes. Et gare à celui qui se hasarde dans cette nuit shakespearienne peuplée de sylphes, de lutins et d’elfes! Il risque de se fourvoyer, de temps en temps.
    C’est ce qui arrive à Anne Cécile Moser. Il faut dire à la décharge de la metteuse en scène que «Le Songe» est une pièce très difficile à monter. Et pour cause… Shakespeare y fait cheminer, côte à côte, cinq histoires dont le fil rouge est l’amour.

    L’amour et ses facettes

    L’amour ses impostures, ses jalousies, ses moments de bonheur aussi, vécus par cinq couples dont l’auteur a fait des personnages de conte féerique.
    Pour les incarner, huit comédiens romands (avec à leur tête Yvette Théraulaz et Philippe Morand) qui font rire la salle, il est vrai, mais parfois au détriment d’une limpidité que gomme le mélange de genres.
    Ici, music-hall, cabaret comique, danse, cirque et théâtre s’imbriquent constamment, baladant Shakespeare et ses personnages d’un imaginaire à l’autre. Il y a même du Chagall chez Anne Cécile Moser qui convoque ici la peinture pour donner corps aux lutins. Petits êtres en apesanteur, à mi-chemin entre ciel et terre, entre anges et démons.
    Ce côté pictural et coloré est sans doute le plus réussi de ce spectacle créé à L’Octogne de Pully, dans le canton de Vaud, coproduit par plusieurs théâtres romands et promis à une belle tournée dans nos contrées.

    Ghania Adamo

  • 24 HEURES - 08.04.2005

    Shakespeare ludique, c’est chic !

    Oui, c’est du Shakespeare. Non, ce n’est pas du classique. Il n’y a pas que certains personnages qui sont ébouriffées sur scène. Le texte, lui aussi, bénéficie d’une coupe originale. Le résultat décoiffe.
    On peut sans autre prendre rendez-vous chez Anne-Cécile Moser. A cette nuance prés qu’il est moins question ici de salon que de chambre à coucher. Là où naissent les désirs et les rêves…On la sait depuis longtemps comédienne (avec Matthias Lanfhoff, Omar Porras, Gianni Schneider, l’Organon et le Collectif Nunc Théâtre, entre autres) ; on la découvre depuis peu metteur en scène également. D’abord Lorenzaccio, en collaboration avec Robert Bouvier. Puis, à l’enseigne de sa propre compagnie, Alma. Une petite forme intimiste, exploration poétique du passage entre fiction et réalité. A côté, ce Songe d’une nuit d’été tient lieu de l’épopée. Que des grands plateaux- celui de l’Oriental-Vevey, où se joue cette semaine le spectacle, fait exception ; quoique, dans cette disposition, il paraît immense. Et une distribution …de rêve (huit comédiens) pour mener à bien ce conte estival, comédie jamais hystérique. Les photos ci-dessus montrent les couples en présence-juste avant la noce. Leur sérieux n’est que provisoire. Les festivités seront multiples, l’enchantement permanent. Via la vidéo (belles trouvailles de Nicole Seiler), les personnages semblent descendre du ciel. Ils prennent chair une fois sur les planches. Et quelle chair bondissante ! Il faut voir les acrobaties du très fit quinquagénaire Philippe Morand, d’abord en Thésée, roi des Grecs, sapé classieux, puis en Obéron, roi des elfes, avec sa moumoute maousse : de spectaculaires dreadlocks qui lui donnent un air de grand chef indien aux origines rasta. Ou la rugissante Yvette Théraulaz , reine des Amazones, l’élégance féline, puis en Titania, reine des elfes, perruquée reggae aussi, et carrément très gaie dans ses ébats avec un âne… A cet instant, elle n’est pas la seule sous le charme ; mercredi à Vevey, l’assistance n’en à demandé aucune pour manifester son émerveillement. Une plongée drôle et rafraîchissante dans le monde de l’imaginaire. Façon de croire que tout est toujours possible. The power of love, maybe.

    Comme un coeur d’amoureux
    De prime abord, en effet, l’amour que porte Hermia (Madeleine Assas) pour Lysandre (Mauro Bellucci) semble condamné. Son père lui a choisi un autre mari, Démétrius (Yves Adam) lequel est convoité par Helena (Franziska Kahl), grande copine d’Hermia. Une virée nocturne dans la banlieue forestière d’Athènes va tout chambouler. Un véritable chassé-croisé, entre rondes et méprises, entre réalité et théâtre –cette nuit-là, au même endroit, une troupe de comédiens tente de répéter. Le brave Bottom (Elidan Arzoni) fait l’âne et plutôt deux fois qu’une.
    La faute à ce coquin de Puck, serviteur espiègle d’Obéron : il a les traits de Shin Iglesias, en ce petit clown blanc époustouflant. Un admirable travail corporel et vocal- en harmonie avec celui de Patricia Bosshard et André Decosterd, auteur d’une bande-son foisonnante. De même est la mise en scène ; gourmande et parfois un peu trop bouillonne ( les danses derrières le rideaux). Mais quelle fantaisie ! Ce spectacle pulse comme un cœur d’amoureux.

    Michel Caspary

  • LA LIBERTE -13.04.2005

    « … » ….Se regarder soi-même

    Un travail sophistiqué de mise en scène donne au « Songe d’une nuit d’été » une fougue qui met en évidence la sensualité et la poésie du langage. Ici, Cupidon croise Eros (Ramazotti), les belles sont à côté de leur pompes ( qu’elles tiennent d’ailleurs à la main) et le petit peuple magique danse frénétiquement le mambo au clair de lune…
    Des elfes tombent du ciel- par la grâce d’un beau travail vidéo signé Nicole Seiler, des sons habitent l’espace en permanence. Dans cette forêt bruissante où les couples se font et se défont, l’amour n’est-il qu’une illusion, une projection ? Anne-Cécile Moser le suggère dans ce qu’elle appelle une « mise en abîme perpétuelle ». Une invitation à se regarder soi-même.

    Florence Michel

  • HEBDO Rivièra Chablais - 06.04.2005

    « Conte à dormir debout… »

    Songe d’une nuit d’été, mis en scène par Anne-Cécile Moser, déploie dans l’imaginaire buissonnant de mythes et de symboles où se croisent et se fourvoient trois couples d’amoureux. Balayées les frontières entre rêve et réalité pour que s’expose en toute liberté toutes les passions humaines. Le beau jeu des amours contrariés du texte de Shakespeare se joue dans la forêt des voiles constellés de l’illusion.
    Si le monde de la réalité et celui du rêve se fondent, le ciel et la forêt ont aussi de fabuleuses accointances dans le jeu des lumières et des projections faisant voltiger les personnages dans les voiles du décor, tour à tour grotte, forêt et surface lunaire. Les collages musicaux de tango, de chacha, de rock ou de bruissement cristallins décalent à dessein le cadre des disputes amoureuses.
    Les costumes jouent également sur le mélange des genres et des époques, les robes de mariée du prologue vont s’effacer à la clarté lunaire de la féerie instaurée par Puck, Obéron et Titania. Et le jeu lui-même, invitant la danse, le chant et l’acrobatie, chatoie sans cesse entre le dramatique des passions humaines et la farce aérienne des elfes jouant les dieux maladroits et facétieux. Le désir, la fusion, la haine et la peur de perdre l’objet aimé, propres aux humains, sont des jouets aux mains des dieux qui s’amusent à brouiller les cartes pendant le sommeil. A moins que les amoureux eux-même ne se trompent à l’intime de leurs rêves.
    Les comédiens, glissant d’un rôle à l’autre dans la pénombre rouge ou verte de la forêt enchantée, déploient une énergie enthousiaste et généreuse tant dans les empoignades féroces que dans les étreintes fougueuses.
    Frafadet extraordinaire de fantaisie et de virtuosité vocale, Puck, petite femme transformiste, donne la note bouffonne et mystérieuse à la conspiration des elfes. Yvette Théraulaz passe avec bonheur d’Hippolyta à la vindicatrice et langoureuse Titania près de Philippe Morand en Obéron matamore et roué. Citons encore les couples d’amoureux Madeleine Assas et Yves Adam, Franziska Kahl et Mauro Bellucci, aux côté de Shin Iglesias et Elidan Arzoni. La magie du spectacle, entre rire et surprise, comble parfaitement le public de rêveurs.

    Mireille Schnorf

Musique

  1. La chanson de Puck http://acmosercie.com/wp-content/uploads/2016/07/chansonDePuck.mp3
  2. Tchatcha http://acmosercie.com/wp-content/uploads/2016/07/tchatcha.mp3

Dessins

© Anne-Cécile Moser
© Anne-Cécile Moser
© Anne-Cécile Moser
© Anne-Cécile Moser
© Anne-Cécile Moser
© Anne-Cécile Moser

Vidéos

Compagnie de théâtre acmosercie
info [at] acmosercie.com

Promotion et Administration:
Emmanuel.Colliard [at] acmosercie.com

website by baptiste cochard
Dramathérapie
Anne-Cécile Moser
0041.78.794.10.55
anne-cecile [at] acmosercie.com
© Tous droits réservés 2016

Accéder à l'ancien site en cliquant ici

Rechercher